Numérique, objets connectés (IOT) , vidéosurveillance, équipements de protection type ( NRBCe ) …
L’Etat veut organiser cette filière avec des objectifs de 6 % de croissance.
Les derniers attentats, en France et ailleurs, ont relancé la nécessité d’une filière industrielle de la sécurité structurée et réactive. Gilet pare-balles, borne anti-intrusion, logiciel de surveillance des sites sensibles, système de reconnaissance biométrique, drone…
les produits de protection sont divers.Ils sont fabriqués par des poids lourds français (Thales, Gemalto, Morpho, Ingenico), et surtout par un millier de PME et une flopée de start-up qui se positionnent sur les niches du numérique (objets connectés, systèmes d’identification, traçage).
Les menaces sont devenues multiples.Le gouvernement français a souhaité, il y a deux ans, y voir plus clair dans ces activités à fort potentiel, aux gros enjeux de souveraineté nationale, mais très éclatées.
Le Cofis (Comité de la filière de l’industrie de sécurité), qui regroupe l’ensemble des acteurs privés et publics du secteur, a vu le jour en octobre 2013.
– via Les Echos Business