46% ont peur des sanctions. L’une des craintes principales, est en effet d’y consacrer trop de temps et d’en être pénalisé. De surcroît, le salarié considérant son savoir comme un capital personnel voit une foultitude d’autres risques au partage d’informations. Une » zone grise « , qui freine ses ardeurs alors que la compétition se durcit dans et hors l’entreprise : 54% des sondés redoutent le plagiat, 38% un effet boomerang, 21% une perte de valeur sur le marché interne.