Un code du travail qui ne cesse de s’étoffer« Il conviendrait de stabiliser le droit social et fiscal pour garantir une visibilité aux chefs d’entreprise. Ainsi entre 2005 et 2010 le Code du travail est passé de plus de 2600 à plus de 3200 pages, ce qui représente près d’une page supplémentaire tous les trois jours ! Coupler les simplifications administratives avec l’arrêt de l’inflation législative, voilà l’enjeu ! », suggère l’organisation patronale qui propose que soit adopté lors de la prochaine mandature, un principe simple consistant à décider que tout nouveau texte soit gagé sur la disparition d’un autre texte
via Selon la CGPME, le Code du Travail s’alourdit d’une page tous les trois jours.