Pour les juges, c’est cependant peine perdue : les copies d’écrann’étaient pas datées. L’impression papier avait été effectuée sans agent assermenté ; « sans précision sur le matériel, l’adresse IP, le mode de navigation et le réseau de connexion utilisés » et que la mémoire cache avait bien été préalablement vidée. Quant à Archive.org, ce service d’archivage est exploité par société privée, sans autorité légale, « dont les conditions de fonctionnement sont ignorées ». Ainsi, « l’absence de toute interférence dans le cheminement donnant accès aux pages incriminées n’était donc pas garantie »
Source : http://www.pcinpact.com/
via : Dany Thx