L’Algérie championne du piratage Selon le BSA :
Taux de Piratage : Algérie 84%,Tunisie 79%,Liban, 73% et seulement 35% au aux Emirats arabes unis
Taux de piratage des logiciels estimé par le BSA
(Business Software Alliance) à :
– Algérie 84%
– Tunisie 79%
– Liban, 73%L’Algérie enregistre depuis quelques années une augmentation du nombre de logiciels piratés via Internet.
Pour rappel, l’Office national des droits d’auteur et des droits voisins (Onda) a recensé en 2008 plus de 600.000 supports contrefaits et illicitement commercialisés, comme les CD, les DVD, les Divx, les cassettes vidéo et autres en Algérie. Ce phénomène de contrefaçon a causé un lourd préjudice aux auteurs d’où l’impératif d’impliquer tous les secteurs concernés pour renforcer le dispositif de protection de ces droits en Algérie.
http://www.lexpressiondz.com/article/2/2010-05-10/76221.html
Des chiffres issue de la « BSA » qu’il faut peu étre « pondérer » aux vues des méthodes jugées discutables par les sites : techno-science et wikipédia :
En France, la BSA utilise une communication parfois agressive (appel à la délation, menace d’incarcération) et se présente à l’occasion comme un auxiliaire de justice. N’ayant aucun pouvoir de police, elle ne peut avoir accès aux ordinateurs d’une entreprise comme elle le réclame parfois.
voir : http://www.techno-science.net/?onglet=glossaire&definition=7686BSA sur Business Software Alliance sur wikipedia
Tous les ans, elle publie une étude annuelle où elle publie une évaluation du piratage logiciel. Les chiffres diffusés sont obtenus par extrapolation en se basant sur un panier moyen de logiciels par ordinateur, multiplié par les chiffres de ventes de matériel et comparé aux ventes de logiciels. En 2005, le taux de piratage est ainsi estimé à 35 % pour le monde[1] (47 % pour la France[1], contre 21 % pour les États-Unis) mais ces chiffres sont contestés, notamment par le GAO[GAO 1].Controverses
La méthode de calcul employée est contestée[2],[3] puisque, notamment, elle ne tient compte ni de l’utilisation de logiciels libres, ni de la réutilisation des licences
logicielles, ni des spécificités de certains pays (par exemple, les États-Unis et la France sont assimilés ensemble car l’étude statistique, qui a lieu dans douze pays, n’est pas menée en France). La méthode d’extrapolation des données aux pays non participants et l’hypothèse qu’un produit vendu illégalement remplacerait un produit vendu légalement (la différence de prix, la satisfaction du client, le fait que le client sache ou non qu’il s’agit d’un produit illégal peuventinfluencer ce rapport) est contesté par le GAO[GAO 1].La BSA utilise des bots de recherche pour retrouver des fichiers couverts par la propriété intellectuelle, ce qui est parfois sujet à des erreurs ; ainsi, l’université de Münster s’est vu accusée de violation de droits parce qu’elle distribuait une version de OpenOffice[4].
Elle a parfois recourt à des méthodes brutales: fermeture d’entreprise[5],incitation à la délation[6].