L’AFFAIRE MICHELIN FERA-T-ELLE JURISPRUDENCE EN MATIERE D’ESPIONNAGE
INDUSTRIEL ?
Écrit par Olivier de Maison Rouge : ielovepme.com
« Selon les informations révélées à l’audience, l’examen des faits
mettait en évidence que l’ex-salarié d’origine franco-libanaise, à
l’issue d’études brillantes réalisées en France et après avoir travaillé
pendant près de 6 années consécutives en tant qu’ingénieur au sein de
l’entreprise, quittait l’entreprise suite à une démission non équivoque
le 31 mars 2007. En juillet de la même année, il s’adressait à
Bridgestone – et à d’autres concurrents qui n’ont pas donné suite – pour
lui proposer de lui céder pour £ 100,000.00 des données confidentielles
concernant des secrets de fabrication et de stratégie de son principal
concurrent qu’il avait préalablement copiées sur un disque dur externe.
Il les avait d’ailleurs modifiés et actualisés en vue de mieux les
valoriser. Dans sa première approche, il déclarait, sous le nom
d’Alexander Pablo de Santiago, détenir un fichier complet de 600 Mo,
pouvant conférer à son détenteur jusqu’à 5 ans d’avance technologique. »Article et Analyse complète sur http://www.ielovepme.com/