Pour établir son « diagnostic », le système se base sur une approche
sans hiérarchie. « Nous n’établissons pas de relations hiérarchiques
entre les données ; dans notre modèle, il est très important de ne pas
considérer qu’une donnée – l’environnement familial, par exemple – est
plus importante qu’une autre »,explique Erick Brethenoux.
C’est
notamment ce qui permet au logiciel de déterminer des corrélations qui
ne sont pas évidentes, et c’est aussi une « sécurité » pour éviter de
tirer des enseignements trop stricts d’ensembles de données
nécessairement incomplets. En Floride, par exemple, le logiciel ne
dispose que des données recensées par la justice, qui sont loin
d’aborder toutes les facettes de la personnalité ou de l’histoire d’une
personne.Source : http://www.lemonde.fr/
rt
laurent_checola Via rosselin