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Vouloir réduire les coûts pour s’aligner sur la concurrence et rester le plus compétitif ne résout en rien le problème de fond. Il faut monter encore d’un cran en terme de décision et ne pas se tromper de priorité.C’est du modèle économique dont il est question, et bien entendu, les citoyens comme les salariés ou les cadres se sentent impuissants face à ce niveau de décision sur lequel ils ne peuvent pas agir, directement.Les patrons d’entreprise sont, eux aussi, subordonnés aux décisions du marché, des actionnaires, des financiers et de cette guerre économique aussi froide qu’implacable. Seuls nos gouvernants sont aujourd’hui habilités à décider de la pérennité de ce modèle.
Cependant le politique étant désormais un pouvoir secondaire à lasolde du pouvoir principal qui est l’économique, disons surtout le
financier et le spéculatif, il n’est pas étonnant que les priorités soient inversées.
(…/…)Aujourd’hui pour sortir des souffrances parfois délibérément provoquées, il va devenir urgent de reconstruire la confiance et d’apporter de réelles réponses à chacun. Si les processus d’accompagnement comme l’organisation et les conditions du travail sont revisitées alors envisagerat-on de travailler à nouveau avec des professionnels qui donneront des moyens pérennes de relancer
la confiance, de déployer des solutions innovantes, de se baser sur l’intelligence individuelle et collective pour trouver de solutions aux situations, même les plus délicates. A nouveau, tout dépendra de l’intention.La suite : http://www.indicerh.net/
Reperer par SophieGirardeau