il s’agit de donner et se donner matière à penser.
Comprendre les contours, cerner les images projetées, pour établir des
parallèles entre les représentations propre à des univers « à priori » différents
(imaginaire de l’homme de sciences / imaginaire de l’homme de marketing) me
paraît fructueux.
http://denisfailly.blogspirit.com/files/denis_failly_marketing_web2.pdf