Avec des études aussi dirigée on ferais passer les revolutionnaires qui ont pris la bastille pour des barbares et des voyous …
Un peu comme des écologistes, qui detruiraient des recherches de pauvres scientifiques innocents
PAYS DE CONS !
Pendant que la #france se regarde le nombril (pour dire la bite)
Le monde avance, et nous restons sur le quai
Si le piratage est un nouveau probleme de 2 choses l’une
Ou les responsables n’ont pas le nécésaires …
Ou les diffuseurs n’ont pas su prendre le virage
Tas d’abrutis de marketeux debile (Oh mince alors le marché se barre, ben a cracher en l’air un momment …ca te retombe sur le nez )Tu croyais vendre ta musique par le web…
Tu pourrais vendre ta mere tu le ferais …
Viens pas pleurer
T’as jouer au gros dur le marché t’as pas louper c’est le jeu !
(#PS: ca fait un bien fou de vider ca je vous jure essayer!)
Si la culture à un prix alors ne vous étonner qu’elle soit #VOLER
….
01net. – Les Français auraient téléchargé un milliard de fichiers musicaux en 2005
Les Français auraient téléchargé un milliard de fichiers musicaux en 2005
Selon une étude du cabinet GfK, le téléchargement de fichiers musicaux a explosé en France l’année dernière. Mais les plates-formes légales ne représentent que 2 % du total.Philippe Crouzillacq , 01net., le 18/01/2006 à 20h08
Aujourd’hui l’industrie du disque a reçu une bonne et une mauvaise nouvelle. La mauvaise tout d’abord. Selon l’étude annuelle « Les Français, la micro et l’Internet », publiée par le cabinet GfK (en partenariat avec nos confrères de SVM), le nombre de fichiers musicaux téléchargés par les internautes français en 2005 a plus que doublé par rapport à l’année précédente. En 2004, ils récupéraient 14,9 chansons par mois sur le Web. En 2005, ce chiffre est passé à 33,7, soit l’équivalent de trois albums par mois. Selon une projection établie par GfK, ce serait un milliard de fichiers musicaux, 120 millions de films, 160 millions de logiciels et 30 millions de jeux vidéo que les Français auraient téléchargés en 2005.
Dans cet océan de fichiers, la part de marché du téléchargement légal reste infime. Dans le secteur musical, pourtant le plus en pointe sur le sujet, elle ne représenterait que 2 %, avec environ 20 millions de morceaux de musique vendus en France durant l’année écoulée. Un autre chiffre permet de prendre conscience de l’ampleur du phénomène. Il y a peu Apple, le créateur du plus célèbre site de téléchargement légal de musique en ligne (iTunes Music Store), brandissait les résultats enregistrés par son service : 850 millions de titres vendus depuis le lancement de la plate-forme. Un chiffre qui reste bien en deçà du volume de téléchargement d’un pays comme la France pour la seule année 2005, soulignent les analystes de GfK.
Un foyer sur deux équipé d’un ordinateur
Dans ce contexte, la bonne nouvelle relève à peine du lot de consolation. Sur les 9 800 000 foyers français connectés à Internet, à peine un quart déclare télécharger en ligne. En clair, la situation est grave, voire désespérée diront certains, mais cela pourrait encore être pire.
Cette augmentation spectaculaire du téléchargement s’accompagne également dans l’esprit des internautes d’une dévalorisation des biens et contenus culturels diffusés en ligne. Ainsi à la question « quel prix seriez-vous prêts à payer pour acheter légalement sur Internet? », le prix moyen donné pour une chanson passe de 1,75 euro en 2004 à 1,12 euro en 2005. Même tendance pour un album (8,59 euros en 2004 contre 6,29 euros en 2005). Et pour les films, le chiffre passe de 6,80 euros en 2004 à 5,90 euros en 2005.
L’an dernier, les Français se sont également donné les moyens techniques de télécharger confortablement sur Internet : 74 % des internautes disposent désormais d’un abonnement haut débit. Et 49 % des foyers sont désormais équipés d’un ordinateur qui, dans 81 % des cas, est utilisé pour accéder à Internet. Cependant, seuls 5 % des internautes interrogés placent le téléchargement de fichiers en tête de leurs activités sur le Web.
Dans ce contexte, comment expliquer la frénésie d’accumulation et de téléchargement actuel ? Sur ce point GfK fournit une piste intéressante : le degré de permissivité. 49 % des internautes qui téléchargent déclarent en effet ne pas se sentir menacés par d’éventuelles poursuites. Et rien n’indique que le débat parlementaire en cours sur le droit d’auteur soit de nature à changer cette perception des choses.